domingo, 5 de septiembre de 2021

Soixante dix huit...

Cinq de septembre. Oh, oui, c’est dèjá ici. Et moi, avec ces cheveux… Alors, mes soixante dix huit anneés sont lá. Et, parce que 60 + 18 c’est plusieur animouse (ou encourageux) que dire ‘setenta y ocho tacos’, je suis ici en parlant la langue de Molière, et de les enfants de la Patrie, en memoire, ou souvenir, de mes jeunes années à Saint Sebastien… bien que, cependant, je ne me rappelle pas parler français jamais quand nous avons passé à Hendaye, St Jean de Luz, même á Biarritz, pour achetter quelque chose dans Au dames de France, Carrefour, Monoprix... ou pour voir pelicules interdits en l’Espagne.

O tempora, o mores… (mais, non, ‘ils sónt fou, ces romains’, que dirait mon ami Asterix le Gaulois…), le case c’est que je voudrais exerciter mes neurones avec cette petit exercise que me rappelle à (pour moi) l’admirable Alphonse Ussiá, quand il écrire à ABC, et dernierement a La Raison, jusqu’a la direction de ce moyen l’ont touché les cataplins avec la censure et, en presentant sa démission, il s’est refugié, pour le moment, à ‘Twitter’ (c’est à dir, au ‘Chant des oiseaux’)… mais, comme je deteste, en general, les ‘réseaux sociaux’, je l'ai perdu de vue.

Et voilá, j’ai ici un vieux homme animouse, pleint (aparentment) de joie de vivre que, comme j’ai dit recemment à un bon ami, ‘avec les devoirs faits’ et avec une grande tranquillité d’esprit... mais aussi avec une grande anxiété pour connaître le monde, sa histoire, les avances scientifiques, les nouvettés informatiques, les avatars du l’être humane… et si Mbappé viendrá au Real Madrid...  

Et bien, jusqu’ici, c'est tout et, comme Capri… c’est fini. Et aujourd'hui ne reste pas que expressér mes felicitations pour l’anniversaire, et pour ma versatilité por écrire en franchutte (c'est-à-dire, en français macarronique...)

Et je veux finir avec un très bel penseé d’autre grand journaliste, monsieur Ignacio Camacho. Il a écrit... la culture ce n'est pas ce que vous avez lu, ou étudié. La culture c’est, précisément, le sediment intellectuel qui te reste quand tu as oublié tout ce qui vous avez lu ou étudié

Et, certainement, c’est vraie…parsque il faut cinquante, ou plus, années que je ne parle pas en français. Mais, en tout cas, il est clair qu'un vocabulaire minimum est parfaitement suffisant.… et, également, Saint Google (buscar por 'diccionario español-francés en línea’) cést une grande aide. Que savoir chercher bien, ou savoir confirmer, c’est, mêmement, une parte important de la propre culture...
Et alors, mes amis... au revoir et à tout à l'heure...!

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